Présentation de Kamilo JIVENKOV (Validé)

"... Les gens me demande  souvent d’où je viens... Cela me semble anecdotique vue la situation actuelle. Mais il leur plait souvent de savoir se que je fessait avant les événements, comme pour se souvenir de notre glorieux passé si calme. Je leur répond donc simplement que je viens de Chemogorsk prés delà mer et que je vivais avec mes parents et ma sœur que je voyais peu du  à mon travail de marin mécanicien..."

LE DEBUT:
"... Le bienfait d'être marin est d'être perdu au milieu de l'océan, cela permet de laisser derrière soit tous les soucis de la maison ou de la famille. Le navire avait été dérouter sur les cote de l'Europe, en Grèce au Pirée d'après mes souvenirs, nous devions prendre des expatriés  Russes victimes de la troisièmes guerre mondiale, qui inévitablement produit une exode rural massive..."

"... Il ne fallut que peut de temps pour voir les ravage du DRAWN à bord du navire. Un endroit confiner, et isolé.. le navire n'avait jamais été prévu pour cela... "

"... Très tôt le matin l'alarme général retentit  dans le navire. Comme prévu dans ce cas la, je me rendis à mon poste en machine, évitant sans savoir tous le problème qu'il y avait à bord. Sur les vidéos de surveillance nous voyons les passagers affolés courant dans tous les sens,  nous voyons en direct sur les moniteurs des actes de cannibalisme irréaliste... Le chef mécanicien pris la décisions de fermer les portes du poste de commande de la machine. Ce qui nous sauva, car cette horde de folie finit par frapper à cette dernière, heureusement encore une fois, trop solide pour céder à leurs assauts... est ce la chance qui me laissa en vie.. je me pose encore la question...
     Nous sommes rester cloisonner un certain temps mais le centre de contrôle n'était pas un bunker. Nous avons alors eu l'idée d'éteindre les lumières du navire. Notre idée était de décourager les assaillants et les conduire vers la lumière extérieur afin de les enfermer dehors et de récupérer le plein control du navire. Cependant, comme nous, des survivants c'étaient caché et voyant la lumière s'éteindre cru la navire en perdition et sortirent de leur cachette... un appât de choix pour les infestés... Une nouvelle cohue se créa mais par chance conduisit un grand nombre d'infestés à l'extérieur du navire..."

     "... Nous n'avions plus rien à manger mais surtout plus rien à boire, nous n'avons plus le choix nous devons sortir. ..."

     "...Après une brève réunion il était clair qu'il fallait reprendre certains points du navire aux infestés: la cage d'escalier qui permet de se déplacer dans la navire, la cuisine et ses rations ainsi que la passerelle indispensable pour naviguer..."

     "... je me sens sale d'avoir du tuer ses "gens". Il y a peu être un remède. la situation ne permet pas de faire le pacifique. Il fallait agir. Nous l'avons fait. La navire est à nous...et nous avons retrouver certains marins et passagers normaux"

LE RETOUR:
     "... Que faire ? était la principale question. La navire ne peut pas se déplacer sans fuel... Une grande partie des survivants étant Russes. la décision était facile: rentrer chez nous..."

     "... La navire arrive prés de chez moi, j'ai demander de partir pour rejoindre les miens. Le navire se rapprochera autant que possible des cotés pour aider mon petits radeaux de fortune à accoster..."

     "...La chance commence à me quitter: le bilan de mon arrivée non loin de chez moi, est pas brillant. Le radeau est en miette, mon sac perdu... il me reste une fusée à mains et un chiffon.. Il faut bouger. Je dois retrouver ma famille !"